Vivre à poil, c'est très sain. Paraît-il. Pour les adeptes du naturisme, c'est indéniable. Laisser respirer la chair, prendre le temps de savourer les moindres mouvements de son corps. Pas d'entrave, pas de règle. Comme c'est frais. Chez soi, ça passe tout seul. Seul un voisin un peu voyeur peut vite être déstabilisé ou au contraire ravi surtout quand il vous prend l'envie de passer l'aspirateur. Nu et dans un environnement débarrassé de ses microbes. A l'extérieur, c'est plus compliqué. Le camp de naturistes simplifie les choses mais on n'y vit pas tous les jours sauf si l'on est le propriétaire. Heureux homme! Sinon le passage par la boucherie, la boulangerie ou le supermarché s'annonce périlleux, voire délicat pour votre personne. Surtout au rayon frais.
Un fin blizzard vous saisit et l'on a vite fait d'attraper la mort au nom d'un sacro-sainte règle d'hygiène de vie. C'est ballot! C'est la mésaventure connue par les participants des "Jeux Olympiques naturistes". Non , je ne parle pas 
de Grecs dépenaillés à Mykonos, là ça se passe à San Francisco (m'étonne pas là encore). l'évenement s'annonçait bien: courses à pied, lutte, sumo, football ou encore volley ball en costume d'Adam et Eve. Niveau sumo, je n'aurais pas trop aimé être arbitre. Oui mais voilà le temps s'en est mélé et là qu'on soit avec ou sans feuilles de vigne, c'est un peu la même galère. L'intempérie tue le naturel et emporte le naturiste avec elle. 1ère étape: une belle course mais de la pluie, du vent et 10 degrés au compteur. Et surtout 8 malheureux hommes sans rien sur eux frissonnants. Leur chair ressemble de plus en plus à celle d'un poulet de supermarché. ce n'est pas une vie. L'épreuve a été interrompue aussi sec. Comme l'ensemble de la compétition qui était d'ailleurs prévue sur la journée.
de Grecs dépenaillés à Mykonos, là ça se passe à San Francisco (m'étonne pas là encore). l'évenement s'annonçait bien: courses à pied, lutte, sumo, football ou encore volley ball en costume d'Adam et Eve. Niveau sumo, je n'aurais pas trop aimé être arbitre. Oui mais voilà le temps s'en est mélé et là qu'on soit avec ou sans feuilles de vigne, c'est un peu la même galère. L'intempérie tue le naturel et emporte le naturiste avec elle. 1ère étape: une belle course mais de la pluie, du vent et 10 degrés au compteur. Et surtout 8 malheureux hommes sans rien sur eux frissonnants. Leur chair ressemble de plus en plus à celle d'un poulet de supermarché. ce n'est pas une vie. L'épreuve a été interrompue aussi sec. Comme l'ensemble de la compétition qui était d'ailleurs prévue sur la journée.Vivre à poil a ses limites. Au bilan pas de médailles ni de couronnes de laurier. Les candidats sont reparties bredouilles et très déçus. Mais promis l'année prochaine ils recommenceront! Et si Monsieur météo se trompe encore dans ses calculs, hop, à poil!
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