La banane. Le sourire jusqu'aux oreilles! Gnarf-Gnarf est métamorphosé. Aujourd'hui il part en DEPLACEMENT! Il ne sait pas toujours pourquoi il part sillonner la France. C'est son métier de la mort qui tue qui l'exige. Vendre sa sauce, son savoir-faire, son talent. Indéniables. Rendre les gens tout heureux par cette seule présence. Quel don du ciel quand même.
C'est déjà le pied mais pour Gnarf-Gnarf, le meilleur dans le déplacement, c'est d'être SEUL! Et tranquille. Quelques heures de train. Pas de chien, pas d'enfants, pas de femme. La liberté totale. Tout en restant connecté quand même. PC portable et blackberry. D'ici à qu'une ou deux belles lui fassent signe. Blanche-Neige est aux abonnés absents depuis deux jours. Petite conne, elle ne sait pas ce qu'elle perd. Mais peut-être que Martine, une fois qu'elle aura oublié ses conneries sur son blog reviendra vers le délicieux nain qu'il est. Sinon, elle ne sait pas ce qu'elle perd. Gnarf-Gnarf a l'esprit taquin. La dernière publicité Aubade s'affiche en 4 par 3 devant la fenètre de son appart bobo. Joli brin de fesse mais cher, très cher le brin de tissu!! Grrr...Le soleil n'est pas encore levé. Il se faufile dans les couloirs de l'appartement. Patte de velours.
Partir sans bruit..Vers la grande aventure..Les couloirs du métro sont glacés mais bientôt le confort du TGV. Quelques dossiers en attente. Et toujours cette inspiration qui ne le quitte pas. Le grand plaisir de sa vie. Ecrivain méconnu mais bientôt reconnu. C'est une question de quelques mois. A peine. Le ventre de Gnarf-Gnarf gronde. Bien joli de partir sans rien dire. Mais il n'a rien avalé ce matin. Et un nain colérique affamé en vaut au moins 2. Direction le mini-bar. Fermé. Agents de la SNCF de m......5 minutes de trajet et déjà l'horreur. Devrait vivre seul. Sur une île deserte. En autarcie. Ces connards de la fonction publique, je vais me les faire. Gnarf-Gnarf décide d'attendre. Porté par le roulis du train. Mini-jupe à l'horizon...Regard à 360°. Oeil de velours...Et crac..la tuile! Le torticoli. Avec l'âge Gnarf-Gnarf perd de sa souplesse et de sa superbe. Et les plaisirs visuels virent soudain au cauchemar. La douleur le lance. Insupportable. Maman, j'ai peur!!
Et pas une pharmacie à l'horizon évidemment. Crotte, ces beaux plans tombent à l'eau. Mais c'est pas possible. Sa vie est nulle, non? Même les croissants qui apparaissent enfin sous son nez (un quart d'heure d'attente!!) lui semblent bien ternes! Et le café fadasse. Pour 7 euros, c'est pas donné de remplir son estomac!! Gnarf-Gnarf retourne s'asseoir. Coup d'oeil rapide à Facebook. Pas l'ombre d'une trace de poke ou de petit coeur ce matin...Grrrr..Je m'en occuperai tout à l'heure...Il ouvre ses documents. Du taf en perspective.
Faut convaincre ces gros nazes de ploucs de pequenots de la France profonde. Et vendre encore et encore et encore. Il regarde le paysage défiler sous ses yeux... Tout à l'heure il ira au Campanile. Finalement parfois la vie c'est du bonheur!
C'est déjà le pied mais pour Gnarf-Gnarf, le meilleur dans le déplacement, c'est d'être SEUL! Et tranquille. Quelques heures de train. Pas de chien, pas d'enfants, pas de femme. La liberté totale. Tout en restant connecté quand même. PC portable et blackberry. D'ici à qu'une ou deux belles lui fassent signe. Blanche-Neige est aux abonnés absents depuis deux jours. Petite conne, elle ne sait pas ce qu'elle perd. Mais peut-être que Martine, une fois qu'elle aura oublié ses conneries sur son blog reviendra vers le délicieux nain qu'il est. Sinon, elle ne sait pas ce qu'elle perd. Gnarf-Gnarf a l'esprit taquin. La dernière publicité Aubade s'affiche en 4 par 3 devant la fenètre de son appart bobo. Joli brin de fesse mais cher, très cher le brin de tissu!! Grrr...Le soleil n'est pas encore levé. Il se faufile dans les couloirs de l'appartement. Patte de velours.
Partir sans bruit..Vers la grande aventure..Les couloirs du métro sont glacés mais bientôt le confort du TGV. Quelques dossiers en attente. Et toujours cette inspiration qui ne le quitte pas. Le grand plaisir de sa vie. Ecrivain méconnu mais bientôt reconnu. C'est une question de quelques mois. A peine. Le ventre de Gnarf-Gnarf gronde. Bien joli de partir sans rien dire. Mais il n'a rien avalé ce matin. Et un nain colérique affamé en vaut au moins 2. Direction le mini-bar. Fermé. Agents de la SNCF de m......5 minutes de trajet et déjà l'horreur. Devrait vivre seul. Sur une île deserte. En autarcie. Ces connards de la fonction publique, je vais me les faire. Gnarf-Gnarf décide d'attendre. Porté par le roulis du train. Mini-jupe à l'horizon...Regard à 360°. Oeil de velours...Et crac..la tuile! Le torticoli. Avec l'âge Gnarf-Gnarf perd de sa souplesse et de sa superbe. Et les plaisirs visuels virent soudain au cauchemar. La douleur le lance. Insupportable. Maman, j'ai peur!!
Et pas une pharmacie à l'horizon évidemment. Crotte, ces beaux plans tombent à l'eau. Mais c'est pas possible. Sa vie est nulle, non? Même les croissants qui apparaissent enfin sous son nez (un quart d'heure d'attente!!) lui semblent bien ternes! Et le café fadasse. Pour 7 euros, c'est pas donné de remplir son estomac!! Gnarf-Gnarf retourne s'asseoir. Coup d'oeil rapide à Facebook. Pas l'ombre d'une trace de poke ou de petit coeur ce matin...Grrrr..Je m'en occuperai tout à l'heure...Il ouvre ses documents. Du taf en perspective.
Faut convaincre ces gros nazes de ploucs de pequenots de la France profonde. Et vendre encore et encore et encore. Il regarde le paysage défiler sous ses yeux... Tout à l'heure il ira au Campanile. Finalement parfois la vie c'est du bonheur!
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