Le pays des bisounours n'existe pas. Enfin si dans un écran télé avec ces petites bêtes toujours souriantes. On a un peu envie de leur donner des baffes. Mais dans la réalité, je les cherche encore. La nature humaine foncièrement n'est pas jolie, jolie. Regardez comme nous érigons en héros le convoyeur de fond qui se carapate avec 11 millions d'euros.
Robin des Bois des temps modernes. Tu ne voleras point, nous dit le Très haut. Certes mais dans les faits c'est tellement excitant. Surtout sans violence. Faire la nique à la Banque de France, ça fait rêver plus d'un homme en peine avec son compte en banque. Le mal, tellement plus sexy. Tout comme le malheur des autres. Les petits êtres fragiles, déséquilibrés et mal dans leur peau attirent plus volontiers que les gens souriants, bien portants et sans tare apparente. L'humain se délecte des mésaventures des vedettes dans les magazines. Et rien n'est plus fascinant que les destins fauchés en plein vol. On nous repasse en boucle le dernier dîner de Lady Di et les derniers instants d'un John Kennedy. Avec cet arrêt sur images sur le moment fatal. Scotcher devant un écran télé. Il en est de même dans la vie courante. Qui n'a pas parlé des misères d'un collègue avec un peu de trémolos dans la voix mais aussi une sorte de complaisance mal venue.Tellement jouissif. Observez les autres pour se sentir un peu moins seul. Un peu moins triste. Pourtant chacun a déjà tellement à vivre que la vie des autres devrait peu lui importer.
Au contraire pour apporter. Un surplus. D'amour, de tendresse, d'attention désinteressé. Un partage sans faux semblant. Simplement. Ne pas chercher la petite bête mais au contraire libérer la bête qui est en nous. Un ours, parfois on peut avoir envie de le couvrir de bisous.
Robin des Bois des temps modernes. Tu ne voleras point, nous dit le Très haut. Certes mais dans les faits c'est tellement excitant. Surtout sans violence. Faire la nique à la Banque de France, ça fait rêver plus d'un homme en peine avec son compte en banque. Le mal, tellement plus sexy. Tout comme le malheur des autres. Les petits êtres fragiles, déséquilibrés et mal dans leur peau attirent plus volontiers que les gens souriants, bien portants et sans tare apparente. L'humain se délecte des mésaventures des vedettes dans les magazines. Et rien n'est plus fascinant que les destins fauchés en plein vol. On nous repasse en boucle le dernier dîner de Lady Di et les derniers instants d'un John Kennedy. Avec cet arrêt sur images sur le moment fatal. Scotcher devant un écran télé. Il en est de même dans la vie courante. Qui n'a pas parlé des misères d'un collègue avec un peu de trémolos dans la voix mais aussi une sorte de complaisance mal venue.Tellement jouissif. Observez les autres pour se sentir un peu moins seul. Un peu moins triste. Pourtant chacun a déjà tellement à vivre que la vie des autres devrait peu lui importer.
Au contraire pour apporter. Un surplus. D'amour, de tendresse, d'attention désinteressé. Un partage sans faux semblant. Simplement. Ne pas chercher la petite bête mais au contraire libérer la bête qui est en nous. Un ours, parfois on peut avoir envie de le couvrir de bisous.
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