Les aigris de tous poils ont eu de quoi faire, ces derniers jours avec 'a vie,l'oeuvre et accessoirement la mort de Michael Jackson. Toute journaliste que je suis,je dis trop c'est trop. Paix à son âme mais cet étalage est mauvais. La faute à qui,à quoi? A la chasse a l'exclusif,sûrement. Chacun veut y être de son scoop.Aux besoins de sensationnel,certainement.A la recherche du toujours trop. Il y en a-et c'est un bien- pour dire non mais ce déballage séduit nos âmes de curieux.Qui n'a pas voulu regarder le malheur chez son voisin? Et le drame prend une tournure épique pour qui veut fuir sa vie.
Dangereux mais tellement banal. Nous sommes ainsi.Curieux et parfois malsains. Mais au lieu de s'interroger,nous renvoyons la pierre au vilain journaliste qui de surcroît ,est nul et inculte.Trop facile.Rejet et fascination,c'est ce qu'inspire cette profession.Elle n'est souvent que le reflet de nos travers. A l'info sérieuse n'aime -t -on pas parfois le superflu? Et derrière le journaliste, c'est un humain avec ses défauts. La profession doit savoir regarder ce qui cloche. Elle le fait parfois.
Pas assez diront certains. Mais sachez le, un journalist sait s'interroger. Et si le journaliste n'existait pas ,l'info aurait moins de saveur.Et grâce à certains grands,des scandales ont été dénoncés.Dans certains pays,on les baillonne.dans d'autres on s'en moque. Il n'en reste pas moins qu'ils sont là. Leur métier n'est que la vie.Transcrire ce que l'on voit pour aussi mieux comprendre. Et pour ma part j'en suis très fière
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