Le point G existe-t-il? Vaste question qui mérite approfondissement. Depuis des années elle brûle les lèvres de bon nombre d'hommes étonnés de ne pas provoquer l'orgasme immédiatement. Personnellement cela ne me taraude pas trop. Et je ne pense pas avoir réperé un truc particulier mais bon dans l'élan.
Les études, les enquètes se multiplient. Une échographiste elle n'y va pas par quatre chemins. Odile Buisson étudie depuis 5 ans les phénomènes qui conduisent au plaisir féminin. A coup d'échographies et de photos qui tapissent son ordinateur. Et ce n'est pas simple visiblement. Le bonheur est parfois aussi impénétrable que les voies du Seigneur. Pour mieux faire elle a entrepris de filmer des coîts. Elle demande l'aimable contribution du personnel soignant qui semble se prêter de bonne grâce à l'exercice devant la caméra. Sur son portable, l'image apparaît. Le journaliste masque son trouble; Et la conclusion de la professionnelle tombe :«C’est comme ça que l’on peut voir le point G. Et on voit ainsi que c’est une fonction, une dynamique d’organes, mais il n’y pas de structure, ni de bouton en soi.» Chouette, donc il n'existe pas ce point G. C'est à chacun de trouver son plaisir. D'autant que le clitoris a l'air bien plus complexe qu'il n'y paraît. Les femmes ne fonctionnent décidement pas comme les hommes. Notre cerveau y serait pour beaucoup, ça n'arrange pas nos affaires.
Les études, les enquètes se multiplient. Une échographiste elle n'y va pas par quatre chemins. Odile Buisson étudie depuis 5 ans les phénomènes qui conduisent au plaisir féminin. A coup d'échographies et de photos qui tapissent son ordinateur. Et ce n'est pas simple visiblement. Le bonheur est parfois aussi impénétrable que les voies du Seigneur. Pour mieux faire elle a entrepris de filmer des coîts. Elle demande l'aimable contribution du personnel soignant qui semble se prêter de bonne grâce à l'exercice devant la caméra. Sur son portable, l'image apparaît. Le journaliste masque son trouble; Et la conclusion de la professionnelle tombe :«C’est comme ça que l’on peut voir le point G. Et on voit ainsi que c’est une fonction, une dynamique d’organes, mais il n’y pas de structure, ni de bouton en soi.» Chouette, donc il n'existe pas ce point G. C'est à chacun de trouver son plaisir. D'autant que le clitoris a l'air bien plus complexe qu'il n'y paraît. Les femmes ne fonctionnent décidement pas comme les hommes. Notre cerveau y serait pour beaucoup, ça n'arrange pas nos affaires.
Odile Buisson est déterminée mais se sent un peu seule dans sa quète. Parler sexualité n'est pas si évident même en France. Et pourtant quand il s'agit de prendre son pied, nos contemporains ne sont pas les derniers. Allez au final point G ou X, l'essentiel est d'y arriver!
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