Etonnant phénomène que celui associé à notre image. Jamais celle qui nous plaît. Sur Facebook, chacun s'expose en permanence. Photos plus ou moins choisies soigneusement, celles où se trouve à peu près correct à défaut d'être une bomba latina ou Miiss Univers. Il y a toujours un truc de travers, quelques kilos en trop, un menton un peu tombant, des cernes mal venues ou un air peu inspiré. Notre image, difficile de l'aimer. Et surtout de la jauger.
Elle ne ressemble pas à son idéal. Si tant de femmes ont recours à la chirurgie esthétique c'est que ce qu'elles voient est trop éloigné de la perfection. Mais quelle est la perfection? En Afrique une femme tout en rondeur est une idole quand l'anorexie ronge d'autres contrées. Les femmes dans leur doute veulent se faire refaire un nez bien mutin ou un regard totalement envoutant. Mais le miroir, le beau miroir ne dit pas assez "que tu es belle, ma princesse". Et même l'être aimé a beau répété, répété que vous êtes une divinité sur pied et qu'Angelina Jolie ne vous arrive pas à la cheville, vous n'y croyez rien! Votre image, il faut la dompter encore et encore. Accepter au final son imperfection. Si riche de beauté pour les autres. Si riche de malaise pour vous. On fait un pas en acceptant cette enveloppe qui nous est donnée.
Ni parfaite ni à jeter aux orties. Un être, ce n'est pas que ce que l'on voit. Un cliché, je n'en doute pas. Mais inutile de s'arrêter à une photo. Il suffit de changer de lunettes. Les opticiens pourraient réfléchir au concept!
Elle ne ressemble pas à son idéal. Si tant de femmes ont recours à la chirurgie esthétique c'est que ce qu'elles voient est trop éloigné de la perfection. Mais quelle est la perfection? En Afrique une femme tout en rondeur est une idole quand l'anorexie ronge d'autres contrées. Les femmes dans leur doute veulent se faire refaire un nez bien mutin ou un regard totalement envoutant. Mais le miroir, le beau miroir ne dit pas assez "que tu es belle, ma princesse". Et même l'être aimé a beau répété, répété que vous êtes une divinité sur pied et qu'Angelina Jolie ne vous arrive pas à la cheville, vous n'y croyez rien! Votre image, il faut la dompter encore et encore. Accepter au final son imperfection. Si riche de beauté pour les autres. Si riche de malaise pour vous. On fait un pas en acceptant cette enveloppe qui nous est donnée.
Ni parfaite ni à jeter aux orties. Un être, ce n'est pas que ce que l'on voit. Un cliché, je n'en doute pas. Mais inutile de s'arrêter à une photo. Il suffit de changer de lunettes. Les opticiens pourraient réfléchir au concept!
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire