Chaque année, à l'approche de la fin mai, le journaliste est en transe. Il guette sa boite mail et son courrier très nerveux. Ira, ira pas. La question devient lancinante. Faire partie du carré VIP qui aura son passe-droit à....Roland-Garros. Il y a des années fastes: 2,3, 4 invitations et des années blanches. Et tout de suite le journaliste, toujours très parano se dit qu'il n'a plus d'influence. Evidemment il y a les places dans les loges au premier rang mais il faut souvent sacrifier du temps à un déjeuner avec le patron de la boîte qui vous invite. N'exagérons pas!
C'est souvent très agréable mais le bruit des balles est plus fort. Il faut aller voir ce qui se passe dans l'arène. Mais l'appel du boulot est là aussi car contrairement aux idées reçues..le journaliste bosse. Alors il restera le temps de trois échanges ou au mieux une petite heure. Et s'il peut poser son après-midi c'est Byzance! En espérant pouvoir encore profiter du même bonheur...éphémère de la quinzaine. Pour se dire: j'y étais!
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