Fais pas ci, fais pas ça. Femmes nous sommes et femmes nous resterons. A nous opposer parfois les règles à la liberté. C'est ce que dénonce avec plus ou moins de réussite Elisabeth Badinter. 40 ans après la libération sexuelle et de la gente féminine accessoirement, voilà qu'on impose aux mêmes femmes d'allaiter leurs enfants. Imposer est un grand mot, disons qu'on leur conseille fortement de le faire pour leur bien et celui de leur petit. Ils éviteront tout forme de maladie sauf la grippe A, dans ce cas précis il vaut mieux filer dans un gymnase et du même coup leurs mamans évitent un cancer du sein, sauf si c'est congénital. Parfait!
Mais où est la liberté? Et que dire alors de la couche culotte. Pampers devient le nouveau symbole de la femme libre quand on nous vante les mérites des langes qui se lavent. Allez frotter sept fois par jour les délicats dessous de vos bambins dérangés des intestins et vous verrez, Messieurs, que les multinationales de la grande consommation sont finalement un méga confort.
Ce combat fait sourire. Il est juste révélateur de l'étroitesse d'esprit qui nous guette. Sus à la liberté et vive les règles de bonne conduite! Dérisoire peut-être quand les inégalités hommes/femmes demeurent dans l'entreprise. Une femme intelligente ne peut pas être belle. Pas toujours! Je l'entends assez..Et le voile dans tout ça?
Elisabeth Badinter est plus discrète sur la question. Mais si l'on part du même principe, celui de la liberté, si la femme se sent bien les cheveux cachés, qui a le droit de lui dicter sa loi? Finalement dans les années 60 ou maintenant, le problème est le même: être libre. Tout dépend où l'on place le curseur!
Mais où est la liberté? Et que dire alors de la couche culotte. Pampers devient le nouveau symbole de la femme libre quand on nous vante les mérites des langes qui se lavent. Allez frotter sept fois par jour les délicats dessous de vos bambins dérangés des intestins et vous verrez, Messieurs, que les multinationales de la grande consommation sont finalement un méga confort.
Ce combat fait sourire. Il est juste révélateur de l'étroitesse d'esprit qui nous guette. Sus à la liberté et vive les règles de bonne conduite! Dérisoire peut-être quand les inégalités hommes/femmes demeurent dans l'entreprise. Une femme intelligente ne peut pas être belle. Pas toujours! Je l'entends assez..Et le voile dans tout ça?
Elisabeth Badinter est plus discrète sur la question. Mais si l'on part du même principe, celui de la liberté, si la femme se sent bien les cheveux cachés, qui a le droit de lui dicter sa loi? Finalement dans les années 60 ou maintenant, le problème est le même: être libre. Tout dépend où l'on place le curseur!
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